Arrivée du frêne massif pour l’escalier.
Le bois est tellement dur qu’on a réussi à péter la Festool en le délignant. SAV nickel, c’est reparti pour un tour.
Après délignage, il faut dégauchir. Une petite kity trouvée sur leboncoin fera le boulot sans sourciller. Elle me servira ensuite pour l’ameublement.
Vient ensuite le collage pour faire les marches et les plateaux, et l’usinage des pièces (arrondi du nez de marche).
On dit que faire un escalier, c’est un métier. C’est vrai et ce n’est pas le nôtre. Radu en a noirci des pages de cahier.
Le mortaisage peut s’avérer casse-tête, en particulier pour les poteaux qui doivent recevoir des marches, un palier, des contremarches et la main courante, le tout dans plusieurs directions.
Radu en plein défonçage de limon.
L’escalier se monte progressivement. À l’heure actuelle, on accède à l’étage sans soucis, même s’il reste encore à usiner quatre mains courantes et faire la jonction escalier parquet de l’étage.